|
|
|
Astrologie en 3D : Errata
de la 1ere édition
Vol.1, page 8, bas de
la page : à propos des variations de distance Soleil-Terre
:
périhélie
début janvier et aphélie
début juillet.
Vol.1, page 32 : 3e, 4e et 6e paragraphes
3e - Saturne, Chiron et Neptune ne sont jamais hors-limite en raison
de la faible inclinaison de leur orbite
sur l'écliptique...
4e - L'orbite d'Uranus n'a également
qu'une faible inclinaison par raport à l'écliptique.
6e - Supprimer obliquité.
Vol.1, page 10 : corrections effectuées depuis l'édition
d'Août 2013
à propos des déclinaisons de Pluton, et de //~ l'équivalence entre
déclinaison et longitude écliptique :
2006 - 25°
Sagittaire - 16° S - //~ 15° Scorpion
2008 - 0°
Capricorne - 17° S - //~ 20° Scorpion
2012 - 8°
Capricorne - 19° S - //~ 28° Scorpion
Vol.1, page 28 :
à propos du zodiaque soli-lunaire des grottes de Lascaux, remplacer
le texte joint à l'image :
Désolée ! Ce shema (ref: Geocosmic Journal, Summer 2003) était un
montage ! J’y avais lu le zodiaque, mais c’était trop beau pour
être vrai. C’est l’ethnoastronome Chantal Jègues-Wolkiewiez qui
m’en donna l’origine, issue de « Lascaux inconnu » d’A. Leroi-Gourhan
(Fig.362). Chantal J-W. a par ailleurs mis en lumière l’orientation
astronomique de l’entrée des grottes de Lascaux, ainsi que celle
de ses peintures pariétales : il y a 17.000 ans, les Pléiades du
Taureau culminaient au solstice d’été, le 21 juin, au moment du
coucher du Soleil, éclairant alors la grotte par la porte Nord-ouest,
pour se réfléchir sur les étoiles du mur de la salle des taureaux.
Tant que nous sommes dans les étoiles, il est intéressant de remarquer
que si les étoiles dites « fixes » le sont bien par rapport au zodiaque
sidéral, elle ne le sont pas en déclinaison ! Plus une étoile est
proche de l’équateur, plus son mouvement en déclinaison est accéléré.
Exemple : en 4000 ans, Spica est descendue d’environ 22° et Regulus
d’environ 12° en déclinaison. En d’autres termes, les étoiles fixes
ne sont pas fixes. Il y a 4000 ans environ, les Pléiades occupaient
l’équinoxe de printemps (le point vernal), alors que Régulus siégeait
au solstice d’été ! Ce point le plus haut en déclinaison convenait
bien au trône d’un roi ! Actuellement, Regulus est passé en Vierge
tropicale, ce qui n’a plus la même signification.
Vol.1, page 31 :
ajouter un 3ème point aux paragraphes sur l'anomalie :
3. lorsque la Lune ou la planète en signe fixe est en décalage
par rapport à sa position en déclinaison.
Vol.1, page 34 :
graphe du bas de la page, remplacer 2025 par 2030 pour le prochain
maximum sud de Pluton.
Vol.2, page 20 : (les corrections de ce Vol.2 ont été effectuées
depuis l'édition d'Août 2013)
se réferer aux corrections du Vol.1, page 28 !
Vol.2, page 24 :
suite aux nouvelles DN d'A. Nothomb extraites de son vrai EC (elle
s'était amusée à s'inventer publiquement ses
coordonnées de naissance), la Lune change de signe, ainsi
que le //~ : remplacer la Lune en Scorpion par une Lune en Bélier
à 2°12 S //~ Poissons.
Vol.3, page 7, bas de la page : à propos
des variations de distance Soleil-Terre :
périhélie
début janvier et aphélie
début juillet.
Vol.3, page 10 :
A propos du cycle de Meton : les éclipses se reproduisent tous les
19 ans sur le même degré du zodiaque (voir tableau ci-contre des
éclipses solaires d’août 1999 et 2018 à 18° Lion, puis des éclipses
lunaires de janvier 2000 et 2019 à
0° Lion).
Vol.4, page 17 :
Les neptunistices ne dépassent pas la déclinaison de 22°25'
Nord et Sud.
Vol.4, page 26 :
En 1991, séries d'occultations de Saturne en Verseau
(et non en Capricorne).
Vol.6, page 30 :
Exemples de Lunes hors-limites en Lion //~ au Cancer pour :
- Robert Badinter : 23°41' N
- David Cameron : 23°32' N
- Jean Sarkozy : 24°20' N.
|
